C’est une toile à la frontière entre rêve et souvenir.

Dans un ciel de nuit profonde, une lune pleine, cuivrée, veille silencieusement. Elle éclaire, de sa lueur mystérieuse, un monde des temps anciens. Sous ce ciel sombre, les premiers hommes apparaissent, gardiens immémoriaux de l’histoire humaine, témoins d’une époque révolue, où l’humanité vivait en parfaite harmonie avec les éléments, la nature, et les astres. Ces silhouettes ancestrales, figées dans la montagne baignée de reflets cuivrés, portent en elles la mémoire des temps anciens. Ils sont les protecteurs d’un savoir oublié, celui des instincts premiers, des intuitions profondes que le monde moderne a enfoui sous la course effrénée du progrès. La montagne, illuminée par la douce étreinte de la lune, se dresse comme un sanctuaire, un monument silencieux dédié à la connexion sacrée entre l'homme et la Terre. Cette œuvre nous invite à raviver en nous ces instincts ancestraux, ces connexions invisibles qui nous lient encore, malgré tout, à la nature et à l’infini.

C’est une invitation à contempler notre histoire, à renouer avec cette part primitive en nous, dans un monde où ces instincts semblent peu à peu se dissoudre.